source url S’encorder correctement avant de grimper est une étape importante et garante de votre sécurité. Si un seul autorisé est par la fédération (le noeud de huit), au moins deux noeuds sont couramment utilisés en falaise (le noeud de huit et le noeud de chaise), d’autres noeuds sont utilisé dans des cadres spécifiques mais nous y reviendrons dans d’autres articles.
Pour des raisons de visibilité (le noeud est-il bien fait ?) nous préférons le noeud de huit qui est beaucoup plus facile à contrôler que le noeud de chaise, même si ce dernier possède des atouts indéniable. Dans les deux cas le noeud d’encordement doit répondre à un ensemble de contrainte :
- Il ne doit pas pouvoir se défaire seul.
- Il doit pouvoir résister à une chute.
- Il ne doit pas augmenter l’usure du matériel, ni celle de la corde, ni celle du baudrier.
- Il doit être contrôlable par l’assureur.
- Enfin, il doit pouvoir être dénouer sans endommager le matériel.
- Il doit être fait le plus près possible du baudrier
Le noeud de huit
Le noeud de huit doit toujours être fait sur le baudrier, sur les 1 ou deux points d’encordement de ce dernier, suivant le type de baudrier.
Dans le cadre d’un ouistiti, le noeud doit passer par les deux anneaux du ouistiti. Les encordements à proscrire sont les suivant :
Comment faire le noeud de huit :
Le noeud de huit une fois effectué doit être terminé par un noeud d’arrêt.
Le noeud de Chaise.
Comme le neuf de huit il doit être fait directement sur le baudrier, et doit se terminer obligatoirement par un noeud d’arrêt.